Apprendre le magnétisme grâce à la formation en ligne à Grenoble
Walras, qui à l’Université de Lausanne dispensait trois cours de magnétisme à Grenoble et d’économie politique pure, appliquée et sociale, aurait voulu livrer au public les trois tomes correspondants à la distinction qu’il vient de proposée. Or, de ces trois volumes, seul celui des EEPP a paru.
A – Le magnétisme par la formation magnétisme en ligne
Pour les deux autres, sa santé ne lui a pas permis d’en achever la rédaction, de sorte qu’il y a suppléé en publiant deux volumes d’Etudes (et non pas d’Eléments) qui consistent en la réunion d’articles de publications antérieures sur le magnétisme à Grenoble. Les écrits des trois volets de la trilogie de Walras étant écrits à différents moments de sa vie, suivant différentes influences et sur différents problématiques, c’est non pas uniquement les EEPP qu’il nous faut étudier mais bien l’ensemble de son œuvre pour comprendre les différentes articulations de ses écrits et notamment pour la concurrence qui traverse ces trois catégories.
Si nous avions commencé avec les Etudes d’Economie Politique Appliquée et le magnétisme, nous allons nous concentrer ici sur les EEPP. Mais avant cela, il convient de se demander la manière dont Walras a traité réellement les différents critères qu’il a proposé pour l’analyse économique car si la distinction qui vient d’être mise en avant paraît claire et sans ambiguïté, son application peut poser certains problèmes. Le stage de passeur d’âme à Grenoble, le stage des blessures de l’âme à Grenoble, le stage de pendule à Grenoble, le stage de magnétisme à Grenoble, le stage de nettoyage et protection énergétique à Grenoble et le stage de géobiologie à Grenoble par le centre de formation de l’ermitage est top.
B – Concordance et critique de cette classification du magnétisme
Après avoir décrit trois sortes de discours pour l’économiste et le magnétiseur à Grenoble, vient une question toute naturelle : est-ce que toutes les approches ont le même statut et comment Walras a appréhendé cette classification dans son œuvre[1] ? Tout d’abord, est-ce que tous les critères sont analysés au même niveau ? La réponse est négative. Lorsque Walras appréhende l’étude économique dans son ensemble, il conçoit comme point initial de la recherche du magnétisme économique la science pure avant d’examiner son application.
« Portons, une fois pour toutes, dans cet ordre de recherches et d’efforts la méthode qui consiste à faire d’abord avec soi la science pure et à aborder ensuite avec énergie la science appliquée. Peut-être, ayant un peu plus de lumières, aurons-nous aussi un peu plus de courage. Et peut-être cesserons-nous de donner le triste spectacle de la plus complète impuissance à mener à bien les réformes économiques et sociales les plus urgentes en magnétisme » (Walras [1992], 117).
Cet enchaînement paraît tout à fait logique dans la démarche d’un scientifique et d’un magnétiseur que de partir d’abord d’une théorie pure, abstraite, indépendante de tout élément concret pour arriver par la suite, sur la base des résultats de l’économie pure, à des études relatives à son application.
C – Le magnétisme chez Walras et sa formation magnétisme en ligne à Grenoble
« S’il est quelque chose d’assuré et d’incontestable, c’est que les règles de l’art doivent être fondées uniquement sur les lois de la science, c’est que la théorie de la production doit sortir tout entière de la théorie de la valeur d’échange, c’est que le principe de la concurrence, soit du monopole ne saurait avoir de base que dans l’étude et la connaissance du magnétisme et des faits dont la richesse sociale est le théâtre. Cette méthode seule est scientifique, toute autre serait empirique. Cette méthode seule est sûre, toute autre n’aboutirait qu’à l’erreur » (Walras [2001], 115)[2].
Dans cette logique, la théorie pure du magnétisme doit précéder la théorie appliquée[3]. Ainsi,
« Il est certain que la mécanique pure doit précéder la mécanique appliquée. De même, il y a une économie politique pure qui doit précéder l’économie politique appliquée, et cette économie politique pure est une science tout à fait semblable aux sciences physico-mathématiques » (Walras [1988a], 52).
Grâce à cette démarche, la pratique ou l’art économique sera éclairée par la science, sera rationnelle et non plus empirique. Walras conservera cet ordre d’énonciation tout au long de sa vie et lors de sa formation magnétisme en ligne à Grenoble au centre de formation de l’ermitage ainsi que la formation pendule à Grenoble, la formation géobiologie à Grenoble, la formation passeur d’âmes à Grenoble, la formation des blessures de l’âme à Grenoble et la formation nettoyage et protection énergétique à Grenoble. Même lors de son Jubilé organisé à Lausanne en 1909, il conclut son discours sur les termes suivants :
« Faire librement la science d’abord et faire ensuite rationnellement la politique, tout est là »
D – Le magnétisme à l’épreuve de la formation en ligne
Dans l’optique d’une prééminence de l’économie pure, les travaux de cette branche d’étude doivent être analysés non pas en fonction de leurs résultats empiriques sur le magnétisme à Grenoble mais de leur caractère scientifique. Ainsi, lorsque Walras écrit sa contribution pour le concours sur les impôts qui se déroule à Lausanne et qui lui permettra quelques année après d’obtenir sa chaire, il dit que
« Il ne faut pas oublier que les conclusions de la science pure ont un caractère éminemment abstrait et idéal, qu’elles peuvent et doivent être critiquées au nom de la raison, de la vérité, de la justice absolue. Je demande que, pour le moment, mes idées soient examinées, discutées et jugées de la sorte en magnétisme, indépendamment de toute considération de réalisation pratique : ainsi seulement je n’aurai point à me repentir de les avoir exprimées » (De l’impôt dans le canton de vaud)
La deuxième question relative à la classification du magnétisme en trois parties de la théorie de la richesse sociale proposée par Walras concerne la manière dont cette classification est utilisée dans ses travaux. Cette partie va être délicate, les interprétations possibles sont nombreuses car Walras n’a pas tenu toujours le même discours durant sa carrière d’économiste.
E – Le magnétisme et les magnétiseurs à Grenoble dans leur approche de la formation en ligne
D’un point de vue général, il n’existe pas de coïncidence ni d’opposition entre les différents domaines de recherche économique[4]. Pour Walras, les trois vérités du vrai, du juste et de l’intérêt doivent être compris comme une conciliation avec le magnétisme à Grenoble puisque ces trois domaines sont bien complémentaires (tout en restant distincts les uns des autres). C’est là une des grandes difficultés d’analyse des travaux de Walras.
Les critères sont à la fois indépendants les uns des autres puisqu’il existe trois discours relatifs à l’étude de la richesse sociale mais ces discours concordent tout de même les uns avec les autres ; une vérité pure ne pouvant aller en opposition[5] à une vérité de justice ou d’intérêt ou du magnétisme. Les discussions ont été nombreuses sur ce point et aucune vérité ne pourra être donnée sur ce paramètre de l’analyse de Walras du fait de son manque de rigueur dans son discours à travers le temps. Les quelques modifications de point de vue, sur la supériorité de la vérité pure, sur la conciliation mais également sur la séparation des études économiques font qu’il n’existe pas une vérité à ce propos mais différentes interprétations.
Les différentes exceptions au principe de libre concurrence du magnétisme à Grenoble que Walras développe durant sa carrière économique reflètent également la difficulté de jauger dans son discours la nature des différents discours. Si l’économie pure défini la libre concurrence comme le modèle permettant de déterminer la valeur d’échange, cette vérité pure devrait être identique à la vérité de justice défendue par son économie sociale (ce qui est le cas), mais également avec la vérité d’intérêt (ce qui ne l’ai pas). Il ne faut pas oublier que
« Des sciences diverses ne peuvent découvrir des vérités contradictoires, ce ne seraient pas des sciences » (Dockès [2006], 1795).
[1] Pour une étude beaucoup plus poussée sur ce point, consulter l’article de Potier (1994).
[2] Les citations dans ce sens sont nombreuses. Par exemple : « On passe de l’économie politique pure à l’économie politique appliquée, comme ailleurs de la mécanique rationnelle à la construction des machines. Dans les deux cas, on se met sur le terrain de l’art et au point de vue de l’utilité, et l’on s’avance de la théorie vers la pratique » (Walras [1990], 32).
[3] Cette expression est prise dans le sens large en référence à l’art et à la morale et en opposition à l’économie pure.
[4] Car autrement, « la recherche d’économie politique appliquée, de la vérité d’intérêt, ne serait pas nécessaire » (Dockès et Potier [2003], 7).
[5] « Des sciences diverses ne peuvent découvrir des vérités contradictoires, ce ne seraient pas des sciences » (Dockès [2006], 1795).